Tags racistes sur la mosquée de Saint-Étienne : trois suspects retrouvés
L'enquête avance, à Saint-Étienne (Loire), où des tags racistes et anti-musulmans avaient été retrouvés sur les murs de la future Grande Mosquée de la ville, dans la nuit du 7 au 8 février.
Quatre suspects, âgés de 18 à 20 ans ont été placés en garde à vue depuis lundi soir. L'un d'eux a été remis en liberté mardi, après avoir été mis hors de cause. Scolarisés dans un lycée professionnel de Saint-Étienne et jusqu'alors inconnus des services de police, ils appartiennent à la mouvance d'extrême droite, sans toutefois faire partie d'un réseau organisé, selon les premiers éléments de l'enquête.
Retrouvé au domicile d'un des jeunes suspects, le journal d'Hitler, « Mein Kampf », a semblé les inspirer. Ils seront présentés au parquet mercredi.
Quatre suspects, âgés de 18 à 20 ans ont été placés en garde à vue depuis lundi soir. L'un d'eux a été remis en liberté mardi, après avoir été mis hors de cause. Scolarisés dans un lycée professionnel de Saint-Étienne et jusqu'alors inconnus des services de police, ils appartiennent à la mouvance d'extrême droite, sans toutefois faire partie d'un réseau organisé, selon les premiers éléments de l'enquête.
Retrouvé au domicile d'un des jeunes suspects, le journal d'Hitler, « Mein Kampf », a semblé les inspirer. Ils seront présentés au parquet mercredi.
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