Interdiction des minarets en Suisse
Une rencontre internationale dédiée aux jeunes a été organisée samedi à Rabat sur le thème «La décision suisse d'interdire les minarets et ses conséquences sur le dialogue et sur la coexistence entre les jeunes du monde»
Cette rencontre initiée par la Fédération internationale des Chourafa Adarissa et «l'Organisation mondiale des venus au monde du fateh 69», a connu la participation des jeunes du champ religieux, politique, économique, des droits humains et du monde des médias, des cinq continents.Intervenant à cette occasion, le secrétaire général de la Fédération internationale des Chourafa Adarissa, Abdellah Hafidi Idrissi, a affirmé que cette rencontre constitue une occasion pour aborder les implications multiples de la décision suisse, relative à l'interdiction de la construction des minarets, pour le dialogue et la coexistence ainsi que pour la coopération entre les jeunes du monde.
M. Idrissi a, également, mis en exergue les grands efforts du Maroc en vue de renforcer les fondements de l'Islam, unifier les rangs des fidèles et assurer la convergence des positions des Musulmans au service de la Oumma islamique. Cette rencontre, a-t-il poursuivi, a pour objectifs d'encourager le débat au niveau des jeunes, renforcer le dialogue et diffuser les valeurs de tolérance et d'ouverture sur l'autre.
Elle se veut aussi un appel à éviter la confusion entre les questions relevant du domaine religieux et le racisme et la xénophobie.Pour sa part, le secrétaire général de «l'Organisation mondiale des venus au monde du fateh 69», Ali Abdeslam Abdessamad, a mis l'accent sur certaines idées véhiculées en Occident qui attribuent à tort les causes du terrorisme à l'Islam en entretenant l'amalgame entre les notions du «terrorisme, du jihad et de la lutte armée légitime».La décision suisse d'interdire la construction de minarets est contraire au Droit international, a-t-il souligné, ajoutant qu'elle constitue aussi une offense aux sentiments des Musulmans de par le monde.
Dans une allocution lue en son nom, le président du Conseil de la région de Rabat-Salé-Zemmour-Zaërs, M. Bouamar Taghouane, a souligné le rôle important qui incombe aux jeunes pour le rayonnement de l'Islam, rappelant les grands efforts de S.M. le Roi Mohammed VI, Amir Al Mouminine, pour la diffusion des valeurs nobles de l'Islam. Les autres intervenants ont déploré que la décision suisse intervient à un moment où des efforts considérables sont déployés de la part des pays et des peuples du monde afin de renforcer les fondements de la paix et de la sécurité entre les nations.
Cette rencontre initiée par la Fédération internationale des Chourafa Adarissa et «l'Organisation mondiale des venus au monde du fateh 69», a connu la participation des jeunes du champ religieux, politique, économique, des droits humains et du monde des médias, des cinq continents.Intervenant à cette occasion, le secrétaire général de la Fédération internationale des Chourafa Adarissa, Abdellah Hafidi Idrissi, a affirmé que cette rencontre constitue une occasion pour aborder les implications multiples de la décision suisse, relative à l'interdiction de la construction des minarets, pour le dialogue et la coexistence ainsi que pour la coopération entre les jeunes du monde.M. Idrissi a, également, mis en exergue les grands efforts du Maroc en vue de renforcer les fondements de l'Islam, unifier les rangs des fidèles et assurer la convergence des positions des Musulmans au service de la Oumma islamique. Cette rencontre, a-t-il poursuivi, a pour objectifs d'encourager le débat au niveau des jeunes, renforcer le dialogue et diffuser les valeurs de tolérance et d'ouverture sur l'autre.
Elle se veut aussi un appel à éviter la confusion entre les questions relevant du domaine religieux et le racisme et la xénophobie.Pour sa part, le secrétaire général de «l'Organisation mondiale des venus au monde du fateh 69», Ali Abdeslam Abdessamad, a mis l'accent sur certaines idées véhiculées en Occident qui attribuent à tort les causes du terrorisme à l'Islam en entretenant l'amalgame entre les notions du «terrorisme, du jihad et de la lutte armée légitime».La décision suisse d'interdire la construction de minarets est contraire au Droit international, a-t-il souligné, ajoutant qu'elle constitue aussi une offense aux sentiments des Musulmans de par le monde.
Dans une allocution lue en son nom, le président du Conseil de la région de Rabat-Salé-Zemmour-Zaërs, M. Bouamar Taghouane, a souligné le rôle important qui incombe aux jeunes pour le rayonnement de l'Islam, rappelant les grands efforts de S.M. le Roi Mohammed VI, Amir Al Mouminine, pour la diffusion des valeurs nobles de l'Islam. Les autres intervenants ont déploré que la décision suisse intervient à un moment où des efforts considérables sont déployés de la part des pays et des peuples du monde afin de renforcer les fondements de la paix et de la sécurité entre les nations.
Commenter cet article