France, futur pays musulman ? Polémique entre Fabrice Robert et Marwan Muhammad du CCIF
Ce qui est toujours amusant avec les musulmans, c’est lorsque l’on les met face à leurs contradictions. Surtout lorsqu’il s’agit de la fameuse « Taqiya », le mensonge licite quand c’est pour discuter avec des « infidèles ». Dernier exemple en date, Marwan Muhammad du Collectif contre l’islamophobie en France (CCIF). CCIF à l’origine de la campagne « Nous sommes la nation », campagne reprenant les codes et les symboles du vivre ensemble républicain. Campagne accessoirement financée par le très mondialiste George Soros. Agent d’influence très efficace, puis qu’il est à l’origine des révolutions de couleur en Europe de l’est (Serbie, Ukraine, etc.). De là à croire que les Etats-Unis ont décidé de faire de la France encore plus une de leurs colonies…
Donc ce Marwan Muhammad se présente comme un gentil musulman moderne et « tolérant ». Seul hic, lorsqu’il est entouré de ses coreligionnaires, il montre son vrai visage. Et là nous avons affaire à un musulman qui semble se réjouir que la France puisse devenir un jour un pays musulman. Ainsi lors d’une conférence tenue à la mosquée d’Orly, il reconnaît bien que l’islam est un système de global non amendable, mais surtout il a asséné ceci, un véritable appel à l’islamisation de la France : « Qui a le droit de dire que la France dans trente ou quarante ans ne sera pas un pays Musulman ? Qui a le droit ? Personne dans ce pays n’a le droit de nous enlever ça. Personne n’a le droit de nous nier cet espoir là. De nous nier le droit d’espérer dans une société globale fidèle à l’Islam. Personne n’a le droit dans ce pays de définir pour nous ce qu’est l’Identité Française. »
Ces propos n’ont pas manqué de faire réagir Fabrice Robert, président du Bloc identitaire, notamment sur Twitter qui s’est lancé dans un véritable clash par tweets interposé avec Marwan Muhammad. Demandant au porte-parole du CCIF ce qu’il pensait de tels propos, Fabrice Robert n’a eu que pour seule réponse : « Preuve ? Source ? ». Face à une telle façon de répondre à la question, le président du Bloc identitaire insiste.
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